› Nom prénom & Surnom :  Anava, est le prénom qu'on lui a donné à sa naissance, elle là gardé, car elle trouve jolie et l'aime beaucoup. Le Choix de Telprimpar comme nom est plus complexe. Si avant de le choisir, elle utilisait le même que son père, celui-ci la rend tout aussi fière. Fan de Tolkien, c'est l'un des noms de Celebrimbor, le personnage lui rappel soit certains aspects, son père quand il était heureux et lui-même.
› Âge : 3812 ans
› Métier / Occupation : Apprentie au Jardin de Lumière, avant elle faisait poussé des plantes et les vendaient.
› Caractère : Stressée Ϡ Craintive Ϡ Sensible  Ϡ Rancunière  Ϡ Réservée Ϡ Pragmatique  Ϡ Tatillonne  Ϡ Fataliste Ϡ Impulsive Ϡ Complexée  Ϡ Douce Ϡ Attentionnée Ϡ Aimante Ϡ Patiente Ϡ Loyale Ϡ Diplomate Ϡ A l'écoute Ϡ Juste Ϡ Tolérante
› Type de Fey Sidhe de la Maison Eiluned par son père

Il était une fois...C'est comme ça que commencent tous les contes de fées. Je me demande encore si ma vie peut être qualifiée de conte de fées. Je n'ai pas eu autant de malheurs comme certains, je suis plutôt chanceuse sur ce point, mais je n'ai pas toujours été heureuse. Ma vie est entre les deux, c'est peut-être un bien pour un mal. Mieux de rien, mieux que si c'était pire.

Née il y a 3812 ans, mon enfance à été assez normale, même si parfois, c'était mouvementé. Ma mère était une noble à la cours du roi Dgada. Mon père, c'est le roi lui-même. Malgré son mariage, il avait des aventures, et ma mère étaient une de celles qui était connue de tous. Mon père, c'est le roi lui-même. J'ai eu la chance d'avoir un père concerné par ses enfants. J'ai pu grandir auprès de lui, mais aussi avec mes demi-frères Aengus, Ogma et ma « belle-mère », Morrigan. Ma mère avait totalement confiance en Dagda pour mon éducation, mais elle tenait à avoir le dernier mot sur certaines choses, comme mon futur potentiel mariage.

J'ai été heureuse avec deux parents aimants, qui s’aimaient aussi. Enfin qui avait une vraie relation saine, pas comme avec son épouse. J'ai aimé cette période, malgré le reste. Toujours à se plaindre du manque d'intérêt de père et m’embêter. Je l'ai toujours respecté, et été amicale avec lui, car c'était mon frère. Je ne m'entendais pas avec lui, sûrement par ce que je n'étais pas comme les autres Sidhes, pas aussi fières. Je me suis souvent demandé comment serait ma vie si j'avais été « normale ». Ma mère n'aurait jamais accepté que je me montre irrespectueuse avec quelqu'un qui partageait mon sang. Mais je me suis jamais attaché à Aengus, alors qu'Ogma était bien plus gentil et doux avec moi. Je me suis souvent demandé comment serait ma vie si j'avais été « normale ». C'est Morrigan. Ma mère m'avait toujours dit de me tenir loin d'elle, qu'elle était mauvaise et tout ce qui va avec. Je ne risquais pas de m'en approcher, elle prenait toutes ces précautions pour jamais nous approcher d'une quelconque façon. Cela a toujours été une ombre, une présence qui m'a toujours fait assez peur. Je n'avais  pas ou peu d'amis me sentant différente, et je sentais sa présence, comme un poids en plus, mais aussi comme une vraie menace. Heureusement, je pouvais trouver du réconfort auprès de ma mère.

La mort de Morrigan fut vécue comme un soulagement par ma mère. Elle pensait qu'a présent, j'étais plus en sécurité, qu'il y avait moins de risque. Pourtant, elle n'a jamais parlé de son ressentie pas même à Dagda. Elle espérait, pouvoir avoir d'autre enfant avec lui, pouvoir avoir une vraie famille. C'est tout ce qu'elle désirait, elle aspirait à vivre avec une famille autour d'elle. Elle pensait qu'a présent, j'étais plus en sécurité, qu'il y avait moins de risque. Elle fut repoussée, alors qu'elle l'avait aimé, qu'elle était prête à le soutenir, à le réconforter. Elle pouvait faire tout ce qu'il voulait. Mais il préféra la compagnie d'une autre. Alors qu'elle avait été là pendant des décennies, qu'elle l’avait aimé, qu'ils avaient une vraie relation. Comme si tout cela ne comptait plus. Tout cela, effacer par une garce. Alors qu'elle avait été là pendant des décennies, qu'elle l’avait aimé, qu'ils avaient une vraie relation. Tous ces rêves s'écroulaient. Alors oui, je méprise ouvertement cette femme qui a détruit la vie de ma mère. Depuis ce jour, elle s'est laissé aller, et n'a plus jamais été la même.

Chacun plongeait dans des méandres infernaux, mais différents. Je voulais travailler auprès des plantes, botaniste ou pépiniériste. J'ai dû mettre cela de côtés, pour m'occuper de mon père et de ma mère. Chacun plongeait dans des méandres infernaux, mais différents. Je ne pouvais pas les laissés ainsi, ils avaient tant fait pour moi. Cela me faisait mal au cœur de les voir ainsi. Et j'ai fait bien comprendre à Eir que je ne voulais pas la voir, et son départ précipité, m'a grandement satisfaite.

Ma vie à été plus ou moins normale, m'occupant du mieux que je pouvais de mes parents. J'avais tellement de peine à les voir ainsi. Alors que tout deux avait eu des années heureuses entre eux. Une période calme, qui fût vite mit au placard. Le Haut Roi David, prit une décision qui changea la vie de tous les Feys. Alors que tout deux avait eu des années heureuses entre eux. Se mêler parmi les humains, ne me dérangeais guère, mais abandonner nos pouvoirs. Une partie de nous-même, de ce qui nous définissait. Ce qui nous rendait uniques. J'étais totalement contre cette idée. Je ne voulais pas perdre une partie de moi. Une partie de nous-même, de ce qui nous définissait. Si je l'ai fait, c'était pour ma mère et mon père. Celui-ci l'a fait. Alors je l'ai fait aussi. Je n'ai jamais accepté cette décision. Surtout que le futur nous à montré que cela avait servi à rien. J'ai perdu ma lumière, pour rien et encore aujourd'hui, j'en veux au roi. Je suis devenue une fey bonne à plus grand chose à cause de lui.

Et depuis tout dégringola. Cela ne fit que de s'empirer. Les Feys devenaient faibles, notre peuple dépérissait. Il n'y avait même plus de naissances. Il y avait clairement un problème. Je n'ai jamais eu grand chose contre les humains, mais peut-être que leur influence à fait qu'on s'est affaiblie. Et ce qui devait arriver, arriva. Je n'ai jamais eu grand chose contre les humains, mais peut-être que leur influence à fait qu'on s'est affaiblie.

La pire des choses qui pouvait arriver, arriva. Bien que je fisse partie de la cours Sidhes par mon père, je refusais catégoriquement de participer à cette guerre. Je n'allais pas faire couler du sang, je rêvais juste à une vie tranquille. J'ai été auprès de mon père pendant un moment, les voyages étant difficiles. Mais cette sécurité fut payée au prix fort. Lorsque je suis retourné auprès de ma mère, c'est un cadavre que j'ai trouvé chez elle. Elle avait été seule, sans aucune force pour se protéger, personne n'avait pu la protéger. Tuée chez elle, sans même s'être débattue, comme si elle avait attendu la mort comme une délivrance. Comment ces humains avaient pu s'en prendre à une femme sans défense, aucunement hostile, malade ? J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps, mais je ne pouvais pas mon montré faible, mon père avait besoin de moi. Comment ces humains avaient pu s'en prendre à une femme sans défense, aucunement hostile, malade ?

Si les années après la guerre furent un peu prés tranquilles, c'était dur de devoir faire le deuil de ma mère. Je ne pouvais pas en parler à mon père, lui-même n'allait pas bien. Et puis j'étais arrivé à un stade à me demander si cela lui faisait quelque chose de savoir qu'elle était morte, lui qui l'avait si bien repoussée. La conquête de l'île de Man, ne me fit ni chaud ni froid, je n'étais pas dans une bonne période. Mon deuil m'a rendue bien plus solitaire et grognon. Il m'a fallu des années pour faire mon deuil. Je suis venue comme n'importe qu'elle feys, je n'avais plus de chez-moi aussi. Bien qu'on fît partie de la première vague, je n'étais pas avec mon père. Une dispute à fait qu'on est arrivé séparément. J'allais le retrouver sur l'île, je le savais, je vivais avec lui. Je comptais toujours rester avec lui, il avait besoin de moi. Je me suis vraiment inquiété, quand les vampires et les drows son arrivé. Venant par la force, j'ai cru qu'ils allaient nous chasser, comme l'avaient fait les humains. Pour l'instant, cela semble assez calme.

 

› Pseudo : Lady Sigyn
› Âge: 24 ans ( bientôt 25 ^^)
› Crédit des images : A remplir.
› Comment je suis arrivé(e) sur le forum ? Par hasard, je ne sais même plus comment....
› J'ai lu le règlement, je l'accepte et je signe par mon pseudo : Moi Anava j'ai bien lu le règlement
› Un petit mot à ajouter ?   Pleins de love sur vos fesses

Passant la porte, je sors de mon hôtel. Je lève la tête, je sens la pluie fine tombée sur mon visage. Si beaucoup n'aimaient pas la pluie, car c'était triste ou par ce que cela nous mouillait, moi, c'était tout le contraire. J'adorais la pluie. L'eau, c'était mon élément, c'était quelque chose de rassurant, de réconfortant et de familier pour moi. Je pouvais passer des heures et des heures dans des bains, ou simplement dans n'importe qu'elle surface d'eau assez profonde pour m'y glisser. À une époque, je pouvais manipuler cette eau, toute eau liquide qui était à porter, toute eau qui était sur cette planète. Mais depuis le Chaudron, je ne le pouvais plus. Je pouvais seulement toucher celle que je créée. Je n'avais pas un ego gros comme une montagne, mais j'ai du mal à me voir si faible. C'était ma fierté de fée, j'étais la fille d'un ancien grand roi, et j'étais devenue faible. Comme tous les miens.

Laissant un peu les gouttes dégouliner sur ma peau, je repensais à cette belle époque. Enfin belle, cela dépendait pour quoi. Mais ce n'était pas le moment d'être trop nostalgique. Une nouvelle vie m'attendait. Là-bas sur Ellan Vanin, renommer pour mieux correspondre aux nôtres. Je ne savais à quoi m'attendre. J'avoue volontiers que j'étais un peu angoissée à l'idée d'y aller. Un nouvel endroit, il fallait retrouver ces marques. Et puis avec la dispute de la vieille avec mon père, ne pas y aller en sa compagnie m'angoissais encore plus. Cela ne durait guère longtemps, on ne se boudait pas l'un l'autre pendant des jours. Le coup colère passait vite et on revenait vers l'autre aussi facilement. Et puis il n'allait pas se débarrasser de moi comme ça, j'avais juré de prendre soin de lui jusqu'à la fin de mes jours.

Je devais rejoindre Silvester avant d'embarquer par le ferry. Il avait eu la bonté de me proposer de travailler avec lui. Un brave homme. Il savait que la botanique était une vraie passion pour moi, et s'occuper du Jardin de Lumière était un vrai honneur. Mais j'avais perdu du temps à trouver son hôtel, si je connaissais Londres, Dublin était un vrai labyrinthe pour moi. Apparemment, il ne fut pas surpris que j’accepte. Il fallait vraiment être stupide pour refuser une telle proposition. Mais il fallait qu'on se dépêche, le ferry n'allait pas nous attendre.

Avant de monter, j'ai regardé autour de moi, si je ne voyais pas mon père, même nos disputes, je n'aimais pas le laisser seul trop longtemps. Je me demandais comment il allait. J'allais le retrouver là-bas. Une fois à l'intérieur, la prochaine étape, c'était cette île. Je ne pouvais m’empêcher de me demander comment cela se passerait là-bas. Après tout ce qu'on avait vécu.